El premio Descubrimientos PHE 2014 (PHotoEspaña) ha reconocido el trabajo de la artista argentina afincada en México Mariela Sancari por su trabajo “Moisés”, donde retrata a hombres de aspecto similar a su padre, que falleció en trágicas circunstancias cuando la artista tenía 14 años. El reconocimiento del cuerpo muerto nos ayuda a superar el duelo de la pérdia. La artista no pudo nunca ver el cuerpo de su padre. Este proyecto tiene sin duda una función «reparadora».
Este fue al primer cantautor francés al que concocí, en la escuela, en las clases de francés. Mi profesora era una gran fan suya, y supo contagiarnos su entusiasmo por esta voz atercipelada. Nos quedan sus canciones.
Pour avoir si souvent dormi avec ma solitude,
Je m’en suis fait presque une amie, une douce habitude.
Elle ne me quitte pas d’un pas, fidèle comme une ombre.
Elle m’a suivi ça et là, aux quatres coins du monde.
Non, je ne suis jamais seul avec ma solitude.
Quand elle est au creux de mon lit, elle prend toute la place,
Et nous passons de longues nuits, tous les deux face à face.
Je ne sais vraiment pas jusqu’où ira cette complice,
Faudra-t-il que j’y prenne goût ou que je réagisse?
Non, je ne suis jamais seul avec ma solitude.
Par elle, j’ai autant appris que j’ai versé de larmes.
Si parfois je la répudie, jamais elle ne désarme.
Et, si je préfère l’amour d’une autre courtisane,
Elle sera à mon dernier jour, ma dernière compagne.
Non, je ne suis jamais seul avec ma solitude.
Non, je ne suis jamais seul avec ma solitude.